Où l’on voit un drôle d’oiseau miro siroter un jus de pastèque au milieu d’un capharnaüm… ma foi pourquoi pas.

Quand j’ai fait Shen Shan je me suis amusé à placer dans les illustrations des clins d’œil à des choses connues ou moins connues. En voici quelques-uns:

Tintin, le lotus bleu et moins évident jeff koons

à gauche une référence un peu honteuse à un vague souvenir d’un  film avec  JC van damme et à droite le déjeuner sur l’herbe de Manet.Encore Tintin, les sept boules de cristal et Magritte

Suite de la découverte des coulisses de shen shan 2:

la première étape a été de créer un story-board pour en discuter avec l’éditeur.

Par exemple la scène 10 a été proposé comme ceci

pour devenir ceci:

…d’un début

Pour commencer, on va surtout parler de Shen shan, et de Shen shan 2 plus précisément, car je m’en souviens encore bien.

« shen shan, on a perdu litchi«  est un livre-jeu, c’est à dire que sur la trame d’une vraie aventure se colle des jeux d’observation et de déduction pour le lecteur.

D’abord j’ai reçu un synopsis de l’écrivain Didier Levy, un auteur prolifique qui avait déjà commis pas mal de livres jeunesses.

Il me détaille le découpage de l’histoire en 11 chapitres et l’ambiance générale.

A partir de là, commence mes recherches sur  les personnages et sur les décors de chaque jeu.

Par exemple il y a cette princesse collectionneuse de gentil garçon, un gardien menaçant et Fafa, une mygale sympathique.